Ce blog s'arrête. Wikipédia me fait chier. À quelques exceptions, les gens sur Wikipédia me font chier. Plus aucun plaisir, rien que de l'agacement. Rien à dire, et tout le monde s'en fout d'ailleurs.
Bon, au moins c'était pas vraiment une surprise. Reste juste à espérer que la civilisation occidentale n'en profitera pas pour s'effondrer, et que tu trouveras rapidement quelque chose d'autre auquel te dédier (peut-être WP à nouveau, mais plus tard).
Il paraît que plus on essaye de retenir quelqu'un de faire quelque chose, plus on réussit à le convaincre de faire cette chose. Alors que puis-je dire ?
Que tu as toujours travaillé dans la discrétion et l'efficacité, en ne recevant jamais assez les remerciements mérités ? Oui, ça, c'est vrai.
Que ta pensée vive et stimulante m'a souvent reveillé de la routine, et que ce poil à gratter pas bête du tout aura fait réfléchir du monde sur le Bistro, l'air de rien ? Ben, euh, ouais, aussi.
Que chacun doit s'attacher à ses passions au bon moment, et les lâcher quand elles ne représentent plus un but éclairant mais un chemin exténuant ? Hélas, oui sans doute.
Comme Popo le chien, je ne peux que me demander ce qu'il va advenir de la Civilisation Occidentale (va-t-en savoir si les Otis de Paname ne vont pas débarouler dans 42 jours).
Sois fort, rattache-toi à ce qu'il te plaira, et peut-être, sait-on jamais, à bientôt.
5 commentaires:
Alors bon vent, comme dirait Georges. Et mille mercis pour tout ce que tu as fait pour Wikipédia. À bientôt peut-être.
Poulpy, même si je te colle un peu au derrière et que tu me jette par la fenêtre du chan de wikipédia, tu fais un vrai vide pour moi.
Reviensss ! Ne gâche pas tout !
Amicalement, GARFIELDAIRLINES
Bon, au moins c'était pas vraiment une surprise. Reste juste à espérer que la civilisation occidentale n'en profitera pas pour s'effondrer, et que tu trouveras rapidement quelque chose d'autre auquel te dédier (peut-être WP à nouveau, mais plus tard).
Bonne continuation,
Vraiment ?
Bon...
Que dire...
Il paraît que plus on essaye de retenir quelqu'un de faire quelque chose, plus on réussit à le convaincre de faire cette chose. Alors que puis-je dire ?
Que tu as toujours travaillé dans la discrétion et l'efficacité, en ne recevant jamais assez les remerciements mérités ? Oui, ça, c'est vrai.
Que ta pensée vive et stimulante m'a souvent reveillé de la routine, et que ce poil à gratter pas bête du tout aura fait réfléchir du monde sur le Bistro, l'air de rien ? Ben, euh, ouais, aussi.
Que chacun doit s'attacher à ses passions au bon moment, et les lâcher quand elles ne représentent plus un but éclairant mais un chemin exténuant ? Hélas, oui sans doute.
Comme Popo le chien, je ne peux que me demander ce qu'il va advenir de la Civilisation Occidentale (va-t-en savoir si les Otis de Paname ne vont pas débarouler dans 42 jours).
Sois fort, rattache-toi à ce qu'il te plaira, et peut-être, sait-on jamais, à bientôt.
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